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Alexia Belleville se donne sans compter Pour le Fil d’Ariane

Menue, voix douce mais affirmée, Alexia Belleville déploie tous ses talents pour défendre sa cause, celle des enfants hospitalisés au CHU de la Timone en situation de précarité sociale. Son association, Pour le fil d’Ariane, vise à leur apporter une aide concrète et rapide. Un exemple : « pendant quatre mois, nous avons soutenu des parents d’Avignon qui avait des soucis financiers au point de ne plus pouvoir venir voir leur fils hospitalisé. L’association a pu prendre en charge l’essence, acheter des vêtements pour l’enfant et soutenir la famille par une aide alimentaire régulière. Ce papa a ensuite retrouvé du travail, il était heureux de nous annoncer qu’il n’avait plus besoin de nous », raconte émue cette endoumoise.

Les conversations d’Agnès Olive avec quelques « célébrités » marseillaises

Après avoir publié déjà plusieurs ouvrages - poésie, photographie, essai -, l'Endoumoise Agnès Olive crée une nouvelle collection intitulée « Les Conversations au Soleil », aux éditions LaBelleBleue, sa propre maison d’édition. Pour cette première série, elle a rencontré le poète Julien Blaine (alias Christian Poitevin), le footballeur Eric Cantona, le peintre-sculpteur Gérard Traquandi, le comédien Philippe Caubère et le cinéaste Robert Guédiguian. Appartenant à des univers différents, ils ont la particularité d’être liés au Sud et d’avoir accompli dans leur vie une œuvre remarquable dans leur domaine. De ces rencontres découlent des conversations animée et faciles à lire : ils parlent librement de leur vie, de la société, d’une certaine actualité parfois mais aussi de Marseille, du Sud, de l’art… Vente en librairie à l'unité (14,90 €) ou en coffret (74,50 €) et sur le site d’Agnès Olive : http://www.agnes-olive.com/livres/

La galerie Art'psodie se pose 50 rue d'Endoume

Créée en 2008 par Jeanne Debeauvais et Gondran de la Souchère, la galerie Art'psodie, auparavant itinérante, vient de "larguer les amarres" au 50 rue d'Endoume, à deux pas de la place du 4 septembre. Il suffit de pousser la porte de ce lieu "tendance sans chichis" pour découvrir l'expo du moment : des artistes émergents d’Asie du sud-est et encore très peu diffusés en Europe. "Issus d'écoles des Beaux-arts prestigieuses, ils ont su adapter les enseignements techniques occidentaux à leurs propres traditions", précise-t-on à la galerie. Art’psodie se fait également nomade pour aller à la rencontre du public, et organise des expositions itinérantes, dans divers lieux atypiques qui sortent du champ traditionnel des galeries d’art. Tél : 04 86 77 20 07.

Château Berger pense aussi aux hommes

Le centre de thalassothérapie et spa Château Berger, magnifiquement situé en bord de mer, sur la Corniche, a lancé, il y a quelques mois une ligne de cosmétiques anti-âge pour le visage et pour le corps. Vendus sur place aux heureux habitués des lieux, ils sont aussi disponibles en ligne (www.chateauberger.fr). Ainsi, la ligne visage, dont un "sérum éclat intense qui possède plus de 20% d'actifs régérant", vient d'être complétée par un "lait raffermissant pour le corps" et un "gommage actif corporel". Va donc pour ces dames.
Maintenant Château Berger cible également les hommes en lançant"la crème d'homme", aux propriétés anti-âge qui "apporte fraîcheur et éclat du teint avec une atténuation des rides et ridules". Le cadre est idyllique, les tarifs à la hauteur, et ces messieurs peuvent venir découvrir tous les bienfaits des soins proposés grâce au "programme au masculin", une "idée cadeau" comportant quatre soins différents sur une durée de 2h30 (douche à jet, bain bouillonnant ou parcours marin, hammam, massage relaxant). Le tout pour 148 euros.

Alix Galinier-Warrain, du cœur et de l’énergie pour Soliane

L’association Soliane est devenue incontournable pour les familles d’enfants ‘’ayant un handicap ou un trouble du développement’’. A l’origine, plusieurs parents se sont regroupés pour que l’intégration dans la société et le projet de vie des enfants handicapés ne soit plus un parcours du combattant. Alix Galinier-Warrain a vécu cette « longue errance » pour sa fille. Elle adhère puis devient permanente : «  J’étais très émue de rencontrer d’autres parents et d’être entendue. J’ai pu poser mes valises ». Depuis quatre ans, cette quinqua discrète s’investit au sein de l’association qui compte aujourd’hui 150 familles adhérentes.

L’informatique facile au 285

« L’informatique, c’est pas automatique » : qui n’en a pas fait la dure expérience ? « Les gens ont tendance à penser que devant un ordinateur, tout va être simple. Or c’est loin d’être le cas ! », explique Pierre Mouroux, un informaticien qui propose depuis cinq ans des cours tous les jours au Centre socio-culturel d’Endoume (le « 285 »),. Les différents modules  : Windows (initiation), Word (savoir taper un texte), Internet (savoir naviguer), création de sites Internet, photos (savoir transférer des photos et les retoucher). A noter : ce cours a l’agrément d’organismes de formation professionnelle. Prix : 170 € le forfait de 10 heures en cours individuel.
Centre socio-culturel d’Endoume, 285 rue d’Endoume, Marseille 7e, tél : 04 91 52 08 63

Catalans : pas d’hôtel 4*, pour l’instant

Toutes les banderoles n’ont pas encore disparu sur les façades des immeubles qui font face à l’usine Giraudon, voisine du Cercle des nageurs. L’usine est désormais vide, son activité a cessé et l’on attendait la construction en lieu et place d’un hôtel 4 étoîles de 150 chambres sur plusieurs étages, dont l’ouverture était prévue pour 2011 (cf article publié par La Provence). Les riverains opposés au projet se sont mobilisés, réunis au sein de différentes associations. Ont-ils été entendus ? Pour l’heure, le PLU (Plan local d’urbanisme) ne permet pas cette construction, car il prévoit qu’à cet emplacement ne peut être réalisé qu’un équipement sportif public. La modification du PLU a bien été votée en conseil municipal pour permettre cette construction mais elle ne l’a pas été par la communauté de communes MPM (Marseille Provence Métropôle). Le projet est donc gelé jusqu’à la prochaine élection municipale. Voilà qui laisse au moins le temps de réfléchir à ce qui pourrait remplacer l’usine désaffectée : des terrains de sports, une extension de la plage, une piscine municipale,... ? Quant au groupe perpignanais qui a acquis le terrain pour 5 millions d’euros (a priori, sans close suspensive), il a aussi le temps de ruminer.

Pliages de serviettes, un livre pour recevoir en beauté

Endoume l’inspire. Delphine Viellard est modiste. Elle crée des chapeaux, recherchés, aériens. Mais pas seulement. Après son premier livre – Les Bijoux de cheveux – publié chez Solar, elle récidive chez le même éditeur, sur le thème : Pliages de serviettes. Sujet au premier abord déroutant –—mais à qui cet art éphémère peut-il bien servir ? — et qui se présente, au fil des pages, comme fort étonnant : les cinquante pliages proposés sont des œuvres d’art et apparaissent au final indispensables à notre table pour leurs touches fantaisistes et raffinées.

Simon Ménard pédale jusqu' Athènes pour le Fil d’Ariane

Le 21 mai, Simon Ménard est parti de Marseille à vélo (1 600 Km) avec l’objectif de rejoindre Athènes en moins de 10 jours… Un pari fou mais qu'il souhaite utile. En effet, pour ne pas pédaler « idiot »…, il « vend » ses kilomètres (2 euros/kilomètre, par tranches minimum de 10 km) au profit de l’association « Pour le fil d’Ariane » qui s’occupe d’enfants hospitalisés à Marseille et dont le siège est situé avenue des roches 13007). Pour chaque achat de portions de parcours, le généreux cycliste enverra à l'acquéreur de kilomètres le détail de l’étape sponsorisée. Pour suivre son périple ://www.marseille-athenes.com/
Vous pouvez faire un don en ligne (paiement sécurisé, le don est déductible à 66% des impôts ; valable aussi pour les sociétés) http://pour-le-fil-d-ariane.aiderenligne.fr/donner/Pour-Le-Fil-D-ariane.html
Il est possible aussi d’envoyer un chèque à l’ordre de « Pour le fil d’Ariane » (vélo) 83, av des Roches 13007 Marseille.

Olé ! Christina Rosmini sort un nouveau disque

Extrait concert au théatre Toursky
envoyé par christina_rosmini

Née à Marseille, l’endoumoise Christina Rosmini a tiré de ses origines espagnoles, corses et italiennes une présence lumineuse, une voix chaude et sensuelle, de la fantaisie... Son dernier album « sous l’oranger », dans les bacs depuis quelques jours (Fnac, Virgin, Harmonia Mundi) ne le démentira pas. Entourée de musiciens d’horizons divers, Christina nous emporte vers les rivages de sa Méditerranée avec émotion et énergie. A écouter sans tarder, pour se laisser envouter, sur : http://www.myspace.com/christinarosmini.